31.10.11

Dear Riccardo Chailly

3/4th of your Beethoven 9 was like a flaccid batavia. No tempo, no crunchiness whatsoever. Endings that are not endings. Detailed and yet desperately motionless. In opposition, the finale was like being in a stadium for a football match. Which is still not right.
Where was the wurste, foundation of the German soul? Glory to the sausage. Firm, savory, it feeds its man with a frankness and openness. No tralala, no affectation.
Don't go on a diet Maestro...

Les trois quarts de votre neuvième de Beethoven étaient comme une batavia un peu flasque. Pas de tempo, pas de mordant, des fins qui ne sont pas des fins. Détaillé à mort et désespérément sans vitalité. 
Le finale, par opposition, sonnait comme dans un stade de foot. Ce qui n'est toujours pas ça.
Où était donc la wurste, un des fondement de l'âme allemande? Gloire à la saucisse qui, ferme, savoureuse, nourrit son homme avec simplicité et honnêteté. Pas de tralala, pas de manière.
Arrêtez votre régime, Maestro....

No comments:

Post a Comment